Truffes Ayme : Qu'est-ce que le BtoB et BtoC ?

Mon oncle ?(C)tait un vieillard ou du moins me paraissait tel ; c’?(C)tait un homme d’infiniment d’esprit, d’une instruction très ?(C)tendue, railleur, d’humeur in?(C)gale, d’opinions l?(C)gitimistes exalt?(C)es et que les paysans appelaient imperturbablement : M. de Contenchien. » Pour lui, la guerre de Vend?(C)e avait ?(C)t?(C) une guerre l?(C)gitime, une guerre sacr?(C)e : « Ils ont ?(C)t?(C) forc?(C)s de l’avouer eux-mêmes, disait-il parfois avec orgueil : c’?(C)tait une guerre de g?(C)ans ! Un jour que j’?(C)tais seul avec elle, je lui dis brusquement : « Qu’est-ce qu’il y a de plus grand, les guerres de la Vend?(C)e ou les guerres de l’empire ? Là je n’apercevais plus de maisons, je n’entendais plus le tic-tac du moulin, l’horizon m’?(C)tait ferm?(C) par les haies dont la prairie ?(C)tait entour?(C)e selon l’usage du pays ; j’?(C)tais seul, j’?(C)tais libre, j’?(C)tais dans l’île d?(C)serte vers laquelle j’aspirais de toutes mes forces. J’aurais voulu être Murat « coiff?(C) de grandes plumes, » j’aurais voulu être La Rochejaquelein avec le cœur de J?(C)sus sur la poitrine ; j’?(C)tais trop enfant pour comprendre la grandeur du sacrifice abstrait, qui seul est m?(C)ritoire, et je me perdais dans une s?(C)rie de raisonnemens oppos?(C)s où je trouvais une sorte de douleur impatiente dont je ne pouvais me d?(C)barrasser

Pour son co-g?(C)rant, Christophe Poron, "une bonne truffe est noire, bien mature, avec des parfums de chocolat". Le riz cultiv?(C) en Pi?(C)mont est indispensable à la pr?(C)paration de ce mets, ce qui caract?(C)rise bien la d?(C)nomination « à la Pi?(C)montaise ». J’ai le d?(C)coupoir à calissons bien rang?(C) (achet?(C) y a pas si longtemps…) mais il attendait LA recette. Aussi j’ai dit à ce gros-là : - Paye pour deux ! J’ai pr?(C)f?(C)r?(C) la consistance des truffes de cette recette à celle pr?(C)c?(C)demment r?(C)alis?(C)e pour les truffes à la fève tonka et fleur de sel. Quand les chasseurs du Dauphin?(C) vont à la chasse dans le mois de septembre, ils sont ?(C)galement pourvus de poivre et de sel. Dans ces moments, les bons bougres des villes ?(C)migrent en caravane à la campagne, histoire de donner un coup de main aux paysans, et aussi de se mettre au vert. On aime du reste à se repr?(C)senter Alexandre Mikhaïlovitch dans ce salon des Joukofski, tel soir par exemple, pendant tel assaut d’armes spirituelles du pauvre Gogol

La r?(C)colte non plus ne doit pas être tardive ; il faut arracher les Pommes de terre dès que les fanes ont jauni ». On emploie surtout pour cette culture la Pomme de terre Marjolin hâtive, dont les fanes sont très peu d?(C)velopp?(C)es. On conçoit que la culture de primeur exige beaucoup plus de soins. Il n’est pas sans int?(C)rêt, pour cette culture, de faire choix des vari?(C)t?(C)s qui, tout en donnant des produits r?(C)mun?(C)rateurs, se distinguent plus particulièrement par des qualit?(C)s sp?(C)ciales dont l’art culinaire puisse tirer habilement parti. La terre, qui, dans les saisons humides, reste adh?(C)rente aux tubercules, empêche souvent d’en bien voir l’?(C)piderme, et les maladies bact?(C)riennes sont de celles qui, dans ce cas, ?(C)chappent le plus facilement à un examen rapide, et sont les plus à craindre dans les ensilotages. Ce Tableau nous apprend que le rendement à l’hectare, bien que les cultures aient ?(C)t?(C) l’objet des mêmes soins, varie dans d’assez notables proportions : cela peut, en effet, d?(C)pendre de la nature du terrain, de l’exposition, de la qualit?(C) même des tubercules plant?(C)s, des maladies dont ils peuvent être atteints, etc. M. H. de Vilmorin faisait ensuite connaître les r?(C)sultats suivants d’exp?(C)riences comparatives, faites dans ses cultures exp?(C)rimentales à Verrières, avec ces dernières vari?(C)t?(C)s

Sosthène Poix rougit l?(C)gèrement en retrouvant Juliette et se sauva par un trait d’audace, en l’embrassant sur les deux joues. Son Th?(C)âtre choisi a ?(C)t?(C) traduit par E. Lafond, 1856, in-18. Cette forêt a donn?(C) son nom au cercle de la Forêt-Noire, une des divisions du Wurtemberg, situ?(C) à l'E. On donne encore ce nom à 4 villes de Suisse : Lucerne, Schwitz, Altorf et Stanz.